8 mars – Journée Internationale des Droits des Femmes (essai, magazine, liens)

Publié le 9 Mars 2015

8 mars – Journée Internationale des Droits des Femmes.

Le 8 mars, c’est la journée Internationale des Droits des Femmes, et non pas la journée des Femmes, ou plus réducteur encore, la Journée de LA Femme !

Si la langue française a officialisé l’usage du singulier pour la journée du 8 mars, on ne peut que regretter une lourde maladresse de traduction car ce que l’ONU et l’UNESCO appellent « International Women’s Day » est bien la Journée Internationale « DES femmes » et non pas « de la femme » : « women » signifie bien « femmes » au pluriel.

http://8mars.info/les-nations-unies-officialisent-la-journee

Le 8 mars, c’est le moment de faire un point sur la situation des femmes dans le monde, de faire le bilan des actions passées et de développer les axes à travailler ou à développer.

Le 8 mars, c’est une Journée de Lutte, car loin s’en faut la Femme n’est PAS encore l’égale de l’Homme. En tant qu’être humain, égalité professionnelle et salariale, considération.

Le 8 mars, c’est un ensemble de manifestations, conférences, célébrations partout dans le monde, dans des villes, dans des entreprises, des spectacles.

8 mars – Journée Internationale des Droits des Femmes (essai, magazine, liens)
8 mars – Journée Internationale des Droits des Femmes (essai, magazine, liens)
8 mars – Journée Internationale des Droits des Femmes (essai, magazine, liens)

Un peu d’histoire !

  • Cette Journée, officialisée en 1977</em> par les Nations Unies, puise ses racines dans la lutte des ouvrières du début du XXe siècle. Elles revendiquaient de meilleures conditions de travail, le droit de vote et l’égalité des sexes.
  • Les premiers rassemblements remontent à 1909</em>, aux USA, où les femmes ont fêté leur journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.
  • C’est avec la Conférence Internationale des Femmes Socialistes réunie à Copenhague, qu’une Journée spéciale est créée par Clara Zetkin, en 1910</em>.
  • 19 mars 1911 : premières célébrations qui ont réuni plus d’un million de femmes et d’hommes en Allemagne, en Autriche, au Danemark, en Suisse et aux Etats-Unis. Leurs revendications concernaient le droit de vote, le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail. Le choix de la date rend hommage aux révolutions de 1848 et à la Commune de Paris.
  • Dernier dimanche de 1913 : Des femmes russes organisent dans la clandestinité leurs première Journée des Femmes.
  • 8 mars 1914 : Protestations contre la montée des antagonismes et mouvements de solidarité. En Allemagne, les femmes réclament le droit de vote, qu’elles obtiendront le 12 novembre 1918.
  • 1915 : Au Danemark et en Islande, les femmes obtiennent le droit de vote.

-8 mars : A Oslo, des femmes défendent leurs droits tout en s’opposant à la guerre.

-15 avril : Plus de 1300 femmes venues de 12 pays se rassemblent à La Haye.

  • 1917 : « Du pain et la paix », tel est le slogan des femmes qui se rassemblent le dernier dimanche de février (le 23) à Saint-Pétersbourg. Elles veulent le retour de leur mari, alors que plus de 2 millions de Russes sont déjà morts. Le tsar abdique quatre jours plus tard et elles obtiennent le droit de vote.

Ce jour, mémorable, ancre la tradition du 8 mars. Car ce 23 février dans le calendrier julien alors en vigueur en Russie correspond au 8 mars, dans le calendrier grégorien utilisé partout ailleurs !

  • 1921</em> : Lénine crée la Journée Internationale des Femmes en souvenir de l’action menée quatre ans plus tôt à Saint-Pétersbourg.
  • 1946 : Après la Seconde Guerre Mondiale, cette Journée s’ancre dans le monde et est fêtée à force de rassemblements et d’initiatives, notamment dans les pays de l’Est.
  • Les mouvements féministes des années 1970</em> en faveur de la contraception, du droit de disposer de son corps, de l’avortement, de l’égalité, ont relancé, réactivé et mis sur le devant de la scène publique et politique les débats et revendications légitimes des femmes.
  • 1975 : Année Internationale de la Femme où l’ONU a célébré pour la première fois cette Journée.
  • 16 décembre 1977 : Les Nations Unis officialisent la date du 8 mars, comme étant LA Journée Internationale DES Femmes (International Women’s Day)
  • Il faut attendre 1982 en France pour que cette Journée soit reconnue, à grands renforts de communication : discours présidentiel, exposition, conférences, manifestations…

L’infériorité des femmes n’est pas un fait de nature, c’est une invention humaine, une fiction sociale.

Maria Deraismes (1828-1894), fondatrice de l’obédience maçonnique mixte Le Droit Humain

Sources : Journée mondiale ; unesco ; 8 mars.info

Retrouvez sur chacun de ces sites les différentes manifestations, plusieurs renseignements, et sur le dernier, tous les petits gestes qui comptent:port du ruban blanc ; boycott des marques sexistes ; rôle des hommes… !

Différents hastags peuvent être utilisés aussi : #8mars et #JDF et le compte @8mars.

Cette Journée permet aussi de se mobiliser contre toutes les violences faites aux femmes. Être solidaire, c'est aussi porter ou apposer le ruban blanc, sur les réseaux sociaux.

http://www.vincentrif.com/?p=169

http://www.vincentrif.com/?p=169

http://www.macommune.info/evenement/journee-internationale-des-droits-des-femmes-115196

http://www.macommune.info/evenement/journee-internationale-des-droits-des-femmes-115196

http://efus.eu/fr/topics/people/women/partners/5622/

http://efus.eu/fr/topics/people/women/partners/5622/

http://www.paperblog.fr/6881915/du-vernis-pour-lutter-contre-les-violences-faites-aux-femmes/

http://www.paperblog.fr/6881915/du-vernis-pour-lutter-contre-les-violences-faites-aux-femmes/

Chaque année l’ONU choisit un thème pour cette Journée.

2016: Planète 50-50 d'ici 2030 : Franchissons le pas pour l'égalité des sexes.

À l’occasion du 8 mars, l’Organisation des Nations Unies mettra l’accent sur les moyens d'accélérer l'Agenda de 2030, sur la création d’un élan pour la mise en œuvre effective des nouveaux objectifs de développement durable, des nouveaux engagements dans le cadre de l’initiative Franchissons le pas d’ONU Femmes et d’autres engagements existants sur l'égalité des sexes, l'autonomisation des femmes et les droits des femmes. -Source ONU Femmes

Pour 2015, il s’agit de l’Autonomisation des femmes.

Plein de renseignements ici.

Car là est la réalité, les femmes ne sont toujours pas considérées comme étant l’égale des hommes. Mais ce mot est tendancieux ! Qu’est-ce que l’égalité entre un homme et une femme, comment la concevoir et la mettre en pratique ?

La parité n’est pas toujours l’égalité !

C’est oublier ou gommer les compétences de chacun, c’est parfois trop lisser en oubliant notre « nature » biologique. J’ai (trop) souvent le sentiment que l’on (la société, les politiques, le monde du travail) veut faire des femmes, non pas des égales, mais des deuxièmes hommes, des hommes-bis.

Demander lors d’un entretien d’embauche à une femme si elle compte avoir des enfants est discriminatoire. Encourager les femmes à faire congeler leurs ovules l’est tout autant, tout comme exacerber le carriérisme et l’individualisme inhérents. Et cela a pour conséquence une politique familiale déchirée qui stigmatisent les mères au foyer, crée de la collectivité à tout va et de plus en plus tôt, une mise dans le moule paradoxalement individualiste, donc violente et de plus en plus précoce.

  • 2015</em> : Le féminisme n’a pas bonne presse.

Vrai débat ou non, le mot « féminisme » et le mouvement ne sont pas/plus ressentis comme toujours d’actualité et valables. Beaucoup de médias se sont penchés sur cette question ces derniers jours. Beaucoup de jeunes femmes s’en détournent, jugé réac, d’un autre temps, plus d’actualité. Or, il suffit souvent parfois de pas grand-chose, ou d’un évènement très fort (guerre ou comme la crise que nous vivons actuellement) pour que les acquis soient remis en question voire effacés, si tant est qu’ils aient existé !

En six ans, nous [Causette] avons vu, en France et en Europe, de nombreux progrès dans la lutte contre le sexisme et les violences faites aux femmes, en faveur des droits des femmes et de leur visibilité. Pourtant, il se profile dans le même temps la remise en question de certains acquis. Et le rejet inquiétant du mot « féminisme ». Nous établissons ce constat de mauvaise réputation à la lumière de ce que nous entendons autour de nous, dans nos vies professionnelle et privée, dans certains courriers que nous recevons. Nous constatons aussi l’augmentation des attaques antiféministes sur les réseaux sociaux aux propos, disons, très « décomplexés ». Et pourtant, le féminisme n’a jamais tué personne. Refuser le mot, c’est mettre en danger les acquis et les luttes à venir. Comment en est-on arrivé là ?

Causette numéro 54 – Mars 2015.

Pour ma part, et c’est ma « lutte » à moi, à mon échelle et dans mon quotidien, je veux que mes enfants puissent disposer, quelque soit leur sexe, de tous les possibles. Lutte contre le sexisme donc.

Qu’ils exercent leurs activités de loisirs ou professionnelles sans craindre de préjugés. Car cela va dans les deux sens !

Plutôt que de vouloir protéger et informer les filles, il faut aussi éduquer les garçons.

Cela ne peut pas se faire que dans un seul sens. Il ne sert à rien de promettre et permettre des choses aux filles si dans le même temps, nos garçons ne sont pas sensibilisés à ces idées reçues et préconçues du style rose pour les filles et bleu pour les garçons, princesses contre chevaliers, poupée contre voitures, filles studieuses et garçons bagarreurs…

L’implication et la compréhension des deux sexes est essentielle, par l’explication et la mise en pratique !

Que les garçons rangent leur chambre et linge, fassent leur lit, mettent la table ou la débarrassent, sont autant de choses « normales » et qu’ils doivent accomplir, au même titre qu’une fille !

C’est pourquoi je souhaite vous faire différents types de présentations dans cet article : un essai qui m'a beaucoup marqué et un magazine avec plusieurs de ses numéros.

J'avais auparavant inclus albums et romans jeunesse, mais j'ai préféré les mettre dans un article à part, que voici, ici!

Mais attention ! Il ne faut pas tomber dans le travers inverse ! En voulant montrer et prouver que les filles sont capables de tout au même titre que les garçons, il ne faut pas ringardiser, ridiculiser, stéréotyper ces derniers !

Ces différentes lectures sont aussi l’occasion de discuter avec mes enfants sur ce qu’ils pensent, ressentent, entendent.

Lorsque je demande à mon 5 ans ce qu’il pense des poupées, il rétorque tout de go que c’est pour les filles ! Alors je lui dis que lui n’aime peut-être pas ça, mais si un garçon souhaite y jouer, qu’en pense-t-il ? « S’il veut pas de problèmes, mais moi, non ! ». Idem pour le port de la couleur rose ! En même temps, je ne raffole pas de cette couleur, donc je ne lui en mettrai pas.

Quand ma fille a lu l’album d’Elisabeth Brami, La déclaration du Droit des Filles (Éditions Talents Hauts), elle a trouvé que ce qui y était écrit était normal ! Bah oui, une fille peut faire tout ça (s’habiller et avoir la coupe de cheveux qu’elle veut, faire tel ou tel sport plutôt qu’un autre…) mais à moi de lui expliquer que ce n’est pas le cas partout dans le monde, ni même en France !

Je vous ai parlé de cet album dans mon article sur la Journée Internationale du Droit des Enfants, le 20 novembre, ici.

http://www.unesco.org/new/fr/unesco/events/prizes-and-celebrations/celebrations/international-days/international-womens-day-2015

http://www.unesco.org/new/fr/unesco/events/prizes-and-celebrations/celebrations/international-days/international-womens-day-2015

Logique marketing dont souvent elles ne sont que des objets, broyées, instrumentalisées, quand elles n’en sont pas exclues car, dans de trop nombreux pays, encore, la femme n’est rien… Encore moins considérées que le bétail, car non seulement elles ne rapportent rien (à l’inverse des bêtes), mais en plus elles coûtent : les nourrir, les habiller, puis les marier et les doter, pour qu’ensuite elles s’occupent de leur époux et nouvelle famille…

Quand elles ne sont pas tuées ou délaissées dès la naissance, assujetties à des règles d’honneur aussi archaïques qu’incompréhensibles, liberticides, et dont elles deviennent de latentes complices (excisions, mères maquerelles, infanticides, combattantes armées ou de l'ombre…)

C’est le propos du livre dont je souhaite à présent vous parler.

Le livre noir de la condition des femmes.

Dirigé par Christine OCKRENT, coordonné par Sandrine TREINER et dont la postface a été écrite par Françoise GASPARD. Contribution de 40 auteurs. Editions Points, février 2007. 954 pages.

Lu dès sa sortie, je n’ai pas pu finir, ni reprendre, ma lecture de cet immense et nécessaire travail et recensement de la condition des femmes dans le monde. Situations trop dures, trop horribles, révoltantes, souvent incompréhensibles, trop contradictoires aux quatre coins de la planète…

En préambule de sa Déclaration de 1993, l’ONU proclame l’urgence de l’application aux femmes des droits et principes du genre humain : SECURITE, INTEGRITE, LIBERTE, DIGNITE, EGALITE. Cinq mots pour résumer ce qui devrait être garanti aux femmes, en ce début de troisième millénaire.

http://www.xoeditions.com/livres/le-livre-noir-de-la-condition-des-femmes/

C’est autour de ces cinq notions fondamentales, nécessaires, et qui devraient être données, offertes, permises à tous, que l’ouvrage s’articule. Que nous soyons en Europe, en Asie, Afrique, les différents articles abordent des sujets aussi variés que la maternité, le tourisme sexuel et la prostitution, l’éducation (et notamment celle des filles), l’esclavage, les viols, les maladies, les crimes d’honneur, la raréfaction des femmes en Asie, le féminicide (nouveau terme qui dénonce les assassinats de femmes de plus en plus fréquents, notamment en Amérique centrale), les violences conjugales, l’homosexualité féminine, la parité…

Sont cités dans ces pages, divers témoignages, documents ou récits, tels Souad. Brûlée vive. Editions Pocket, avril 2006. Ou Leila. Mariée de force. Éditions J’ai Lu, mars 2007.

8 mars – Journée Internationale des Droits des Femmes (essai, magazine, liens)

SECURITE
Au début de ce troisième millénaire, des femmes sont encore menacées dans leur vie même parce qu’elles sont des femmes. Le premier des droits fondamentaux commence donc par le droit de vivre, sans discrimination liée au sexe.

Page 947 – Table des matières.

Le Journal L’Express écrivait à propos de cet essai (4e de couverture) : Ce livre noir rappelle utilement que l’irrésistible lame de fond en faveur de l’égalité des sexes est loin d’être la norme…

Paru il y a presque 10 ans, les choses ont-elles évolué dans un sens positif ? Je n’en suis pas sûre. Oui, il y a eu des changements, des améliorations mais aussi des conditions plus dégradées encore… Boko Haram n'en est qu'un triste exemple parmi d'autres...

En Chine, la politique de l’enfant unique a été assouplie depuis décembre 2013. (Journal Le Monde)

En vertu des nouvelles normes, les couples pourront avoir deux enfants si l'un des parents est enfant unique. Auparavant, un couple ne pouvait avoir un deuxième enfant que si les deux parents étaient eux-mêmes des enfants uniques. (Nouvel Obs)

Mais ses conséquences se font encore sentir et se répercutent sur les pays voisins. Le manque de femmes est tel que les Chinoises sont volées par des Pakistanais ou des Indiens, qui connaissent aussi une démographie féminine alarmante.

Dans le même temps, l’accès à l’éducation connaît une trajectoire paradoxale. Plus aisé, voire favorisé, dans certains pays comme nous l’a montré le très bon film-documentaire de Pascal Plisson et sorti en 2013, Sur le chemin de l’école, il est aussi mis à mal dans les pays occidentaux…

http://www.livenaturallymag.com/2014/12/06/les-noirs-en-2015-quels-ont-ete-les-progres-depuis-la-fin-de-lesclavage/

http://www.livenaturallymag.com/2014/12/06/les-noirs-en-2015-quels-ont-ete-les-progres-depuis-la-fin-de-lesclavage/

Voici un magazine découvert il y a peu (4 mois) et auquel je pense m’abonner tant il me parle ! (Je vous l’ai cité plus haut en parlant du désamour pour le féminisme !)

Causette. Plus féminine du cerveau que du capiton.

Magazine féministe qui ne mâche pas ses mots au regard acerbe, qui décrypte les comportements des politiques, des hommes et aussi des femmes, des anonymes, par le biais des médias, des phénomènes de société ou encore petites annonces, ici ou ailleurs… Humour et cynisme sont un brin nécessaires, pas de langue de bois, beaucoup d’empathie et d’auto-dérision.

Dossiers et enquêtes, interviews diverses parsèment ses pages et nous jettent à la face des conditions de vie ignobles, dures, ici sous nos yeux ou à l’autre bout du monde. Causette n’est pas tendre avec notre monde, notre société qui l’est encore moins…

Mais elle nous dévoile aussi des étincelles de vies et d’espoirs, visibles à ceux qui veulent les voir ou pour qui c’est le moment !

Je vous mets quelques photos de ses couvertures, éditos ou dossiers que le magazine a dévoilé sur sa page Facebook !

Causette 54 - Mars 2015.

Causette 54 - Mars 2015.

Causette 54 - Mars 2015 - Edito.

Causette 54 - Mars 2015 - Edito.

Causette 53 - Février 2015.

Causette 53 - Février 2015.

Causette 53 - Février 2015 - Edito.

Causette 53 - Février 2015 - Edito.

Causette 53 - Février 2015.

Causette 53 - Février 2015.

Causette 53 - Février 2015 - Dossier.

Causette 53 - Février 2015 - Dossier.

Causette 5 - Janvier 2015

Causette 5 - Janvier 2015

Causette 51 - Décembre 2014.

Causette 51 - Décembre 2014.

Causette 51 - Décembre 2014 - Edito

Causette 51 - Décembre 2014 - Edito

Causette 51 - Décembre 2014 - Dossier.

Causette 51 - Décembre 2014 - Dossier.

Pour finir, voici quelques liens pour vous permettre de vous informer, de vous exprimer, de partager aussi : opinions lectures, campagnes explicatives…

Et quelques photos ! Plus ou moins drôles,enrageantss, inhérentes à cette Journée!

Et pour vous, qu’est-ce que le féminisme ?

Avez-vous lu l’un des livres cités ?

Blandine.

https://www.facebook.com/KaizenMagazine/photos/a.342678205769711.70436.328839687153563/856487774388749/?type=1&pnref=story

https://www.facebook.com/KaizenMagazine/photos/a.342678205769711.70436.328839687153563/856487774388749/?type=1&pnref=story

http://www.cesncfprg.com/gene.aspx?adivers_code=26

http://www.cesncfprg.com/gene.aspx?adivers_code=26

https://www.facebook.com/DesrondsdanslO/photos/a.10150154657928445.296316.87032713444/10152888979298445/?type=1&pnref=story

https://www.facebook.com/DesrondsdanslO/photos/a.10150154657928445.296316.87032713444/10152888979298445/?type=1&pnref=story

https://www.facebook.com/1534071683508842/photos/a.1534124580170219.1073741829.1534071683508842/1557359327846744/?type=1&pnref=story

https://www.facebook.com/1534071683508842/photos/a.1534124580170219.1073741829.1534071683508842/1557359327846744/?type=1&pnref=story

https://www.facebook.com/AquiS/photos/a.483177886451.258931.100768431451/10152741871161452/?type=1&pnref=story

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L
Oh mais quel article Blandine ... toujours plus complet d'années en années ... car malheureusement, il a a toujours à en dire ! Il serait tellement agréable de pouvoir passer à autre chose ...mais j'ai comme l'impression que ce n'est pas pour tout de suite ... Je vais prendre le temps de la lecture car le sujet m'intéresse toujours autant même si cette année, je n'aurais pas le temps de fouiller la question. Merci Blandine et Bravo. . Bises
Répondre
B
Oooh merci Copinaute :-)<br /> Oui je réactualise... Et comme tu le dis si bien, ce n'est pas pour tout de suite que l'on passera à autre chose, donc il sera réactualisé autant qu'il le faudra...<br /> Bises
C
Article riche et très intéressant en effet!!! Quel travail!!<br /> Juste une précision, pour la politique de l'enfant unique, ce n'est pas qu'elle n'est plus, c'est qu'elle a été assouplie comme le dit l'article du Monde. Il y a donc encore des régions/villes ou des couples qui sont touchés par cette politique. En revanche, les problèmes d'infanticide des nourissons filles sont heureusement bien moins nombreux, même si encore aujourd'hui, les femmes enceintes ne peuvent pas connaitre le sexe de l'enfant avant la naissance... Le gros problème réside pour moi en Inde avec ces viols commis parfois en toute impunité... Ah, tellement de choses à dire sur ce sujet!
Répondre
B
Merci beaucoup ainsi que pour la précision, je corrige!<br /> <br /> Oh oui, le sujet n'est pas clos!
E
Article très riche qui soulève pas mal de questions c'est bien, j'ai ajouté ton lien à mon billet!
Répondre
B
Merci beaucoup Enna :-)
N
Quel article, Blandine, encore une fois plus-que-complet, riche d'informations et de liens en tout genre, sur un sujet brûlant et portant à polémique.<br /> Un grand bravo ! <br /> Je vous comprends, certains livres pourtant nécessaires sont parfois insoutenables à la lecture et leurs échos résonnent longtemps...<br /> Et puis bien sûr, c'est à nous d'éduquer nos enfants pour un monde plus juste, un beau combat à mener !
Répondre
B
Merci beaucoup Nancy :-D<br /> <br /> En écrivant l'article, j'ai eu envie de recommencer ma lecture.<br /> Le sujet est toujours trop actuel mais les il y a davantage de recul puisque le livre a quasi 10 ans... J'ai regardé s'il avait été réédité et réactualisé mais n'ai rien trouvé. Cela aurait été intéressant...